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Funérailles d’hiver Sincères et folles condoléances

Ne vous fiez pas au titre ! La pièce d’Hanock Levin a beau s’intituler « Funérailles d’hiver », l’ambiance est plutôt au cabaret déjanté. Entre Beckett et les Monty Pythons, ces obsèques désopilantes vous emmènent d’une plage de Tel Aviv au sommet de l’Himalaya.

Jusqu’au 23 janvier au Jacques Franck (Saint-Gilles). Le 25 janvier à la Maison de la Culture Famenne-Ardenne (Marche-en-Famenne).

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Temps de lecture: 3 min

A l’approche du Blue Monday, ce lundi de janvier censé être le jour le plus déprimant de l’année, on peut comprendre qu’un titre comme Funérailles d’hiver ne soit pas des plus motivant pour vous faire braver la grisaille. Et pourtant ! La pièce d’Hanock Levin, mise en scène par Michael Delaunoy, pourrait justement booster la sérotonine de tous les dépressifs du moment, apporter ce petit supplément de bonne humeur à tous ceux que le manque de lumière désespère.

Sous-titrée «  Farce burlesque avec chansons  », la comédie de l’auteur israélien contredit toutes les connotations de son titre principal. Certes, la pièce commence par un décès – Latshek Bobitshek pleure la mort de sa mère – mais bifurque vite vers une cavalcade rocambolesque, depuis une plage de Tel Aviv jusqu’au sommet de l’Himalaya.

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