Bilal Hassani, le candidat de «Destination Eurovision» victime d’homophobie

Ce samedi soir aura lieu la seconde demi-finale de « Destination Eurovision » sur France 2. Bien parti pour être le représentant de la France cette année, Bilal Hassani, présent lors de la première émission, a essuyé de nombreux commentaires homophobes après son passage.

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Pour Bilal Hassani, «
l’Eurovision est le plus grand show musical de tous les temps, le plus regardé. C’est un show qui unit les nations. Le réduire de fête à neuneu…
»

Par Cassy Morandi (st.)

Publié le 18/01/2019 à 16:53 Temps de lecture: 3 min

Pour la deuxième année consécutive, la chaîne France 2 organise « Destination Eurovision », un programme en trois parties (deux demi-finales et une finale) permettant aux Français d’élire la personne ou le groupe qui les représentera au concours. La sélection des chanteurs s’est faite par un appel à candidatures auprès du public et des maisons de disque, les seules restrictions étant de proposer une chanson originale et comporter moins de six membres dans le cas des groupes.

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3 Commentaires

Posté par Philippe Arnould, vendredi 18 janvier 2019, 20:38

Est-ce que trouver qu'un homo idiot est idiot, c'est de l'homophobie ? Avec ces excès du club des professionnels de la victimisation, faut pas s'étonner que les gens deviennent réactionnaires…

Posté par Poels Jean-pierre, samedi 19 janvier 2019, 12:01

Sont ce les "club des professionnels de la victimisation" qui sont coupables de créer des réactionnaires ou plutôt la presse à clics qui reprend leurs revendications qui le sont?

Posté par LIENARD NORBERT, vendredi 18 janvier 2019, 19:01

Je n ai absolument rien mais alors rien du tout contre les gays les blacks les trans .....la liste est longue mais j ai l'impression qu à l heure actuelle il faut être cela et si possible un mix de tout cela pour être sélectionné

Posté par Philippe Arnould, vendredi 18 janvier 2019, 20:38

Est-ce que trouver qu'un homo idiot est idiot, c'est de l'homophobie ? Avec ces excès du club des professionnels de la victimisation, faut pas s'étonner que les gens deviennent réactionnaires…
Posté par Poels Jean-pierre, samedi 19 janvier 2019, 12:01

Sont ce les "club des professionnels de la victimisation" qui sont coupables de créer des réactionnaires ou plutôt la presse à clics qui reprend leurs revendications qui le sont?
Posté par LIENARD NORBERT, vendredi 18 janvier 2019, 19:01

Je n ai absolument rien mais alors rien du tout contre les gays les blacks les trans .....la liste est longue mais j ai l'impression qu à l heure actuelle il faut être cela et si possible un mix de tout cela pour être sélectionné