Mi-mandat de Trump: au Moyen-Orient, une obsession anti-iranienne
Au Moyen-Orient, les Etats-Unis de Donald Trump comptent leurs amis à partir de trois critères : la lutte antiterroriste, la protection d’Israël et, surtout, l’hostilité envers l’Iran des ayatollahs.


Le slogan « America First ! » de Donald Trump n’a pas pesé lourd face aux enjeux mondiaux que charrient les dossiers du Moyen-Orient. Certes, si le président américain avait choisi Riyad, en mai 2017, pour effectuer son premier déplacement à l’étranger, c’était d’abord en vue de consolider les commandes saoudiennes sonnantes et trébuchantes en faveur de l’industrie américaine. Mais le néophyte s’est vite rendu compte que les dossiers bien politiques du Moyen-Orient allaient accaparer une partie non négligeable de son temps.
Ainsi, deux axes émergèrent assez rapidement : le dossier israélo-palestinien et, surtout, le nucléaire iranien. Dans les deux cas, Trump avait promis une action décapante et, en ce sens, il n’a pas déçu.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire