Prison de Haren: «Le carcéral et l'environnemental sont reliés par un élément central, le déni»
Une large opération de désobéissance civile a eu lieu sur le chantier de la future prison. Pour les opposants au projet, il s’agit d’une des rares manières de se faire entendre. Les activistes invitent les partisans de la cause climatique à s’intéresser à leur lutte.


Malgré les quelques heures passées en détention, c’est plutôt l’enthousiasme qui semble prendre le dessus dans la cour du quartier général tennodois où nous reçoivent Jean-Baptiste, Julie et Martin. Plus tôt dans la matinée, ces trois activistes se faisaient en effet arrêter administrativement dans le cadre d’une vaste action de désobéissance civile visant à bloquer temporairement le chantier de la prison de Haren, futur plus grand pénitencier du royaume (1.190 places), dont l’Etat belge a confié la construction au consortium international Cafasso au travers d’un partenariat public-privé (PPP).

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