Quatorze crânes congolais au cœur du débat sur la possession de «restes humains» en Belgique
L’ULB a tenté à travers un colloque de faire le point sur l’un des volets les plus sensibles de sa relation avec l’Afrique centrale : la possession de « restes humains ».


S’agirait-il de l’un des derniers chapitres de la décolonisation, qui, comme les précédents, se traduit par un dialogue belgo-congolais difficile mais nécessaire, assorti de polémiques, de malaise, mais aussi de bonne volonté ? Durant une journée, en présence du recteur Yvon Englert, l’ULB a tenté de faire le point sur l’un des volets les plus sensibles de sa relation avec l’Afrique centrale : le fait que l’université soit en possession de « restes humains », soit 14 crânes ramenés du Congo dans les premiers temps de la conquête coloniale, le plus souvent par des militaires.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Mais si on leur rende et qu ils nous fichent la paix ,vous n allez pas me dire que c est de l art