Greta, Anuna, Kyra, Adélaïde,... que des femmes pour le climat?
Orianne Petteni, doctorante en philosophie politique, n’est pas étonnée de voir que ce sont majoritairement des jeunes filles qui incarnent les marches pour le climat. Elles doivent faire face à une réaction très paternaliste des hommes et femmes politiques.
Greta, Anuna, Adélaïde et Kyra menaient une nouvelle marche pour le climat ce jeudi à Bruxelles. Ailleurs dans le monde, ce sont aussi des jeunes filles qui sont en grève ou organisent les manifestations d’adolescents inquiets pour leur avenir. Une enquête de l’université d’Anvers et de la VUB tend à confirmer ce ressenti. S’il y a pratiquement autant de garçons que de filles dans les marches, elles sont 65 % a les incarner. Cela n’étonne pas vraiment Orianne Petteni, doctorante en philosophie politique à l’Université de Liège.
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Cette doctorante FNRS (mais oui!) est claire: prédominance de l'émotion, anti-cartésianisme, phantasme de colonisation du corps féminin, racisme anti-hommes (surtout ceux qui sont âgés et blancs) bref un écoféminismes obscur qu'on croyait pourtant passé de mode, mais qui rebondit avec le mouvement "me too". Est-ce que le contribuable sait que le FNRS finance des idéologies plutôt que de la science?
Probablement parce que les personnes qui misent sur des modèles économiques bancaux sont principalement des femmes. Tout comme certaines féministes veulent qu'on considère l'astrologie comme une science féministe…