Pacte d’excellence: les trois enseignements de «Monsieur Pisa»
Andréas Schleicher, le Monsieur Pisa de l’OCDE, est en conférence ce jeudi à Bruxelles. Objectif : mettre en perspective son expérience de chercheur avec le pacte d’excellence.
Andréas Schleicher… Soyons de bon compte, le nom ne dit sans doute pas grand-chose au commun de mortel. Si par contre, on l’associe à « Pisa » son évocation prend de suite une autre tournure. Andreas Schleicher dirige en effet le département « Éducation et Compétences » de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). À ce titre, il est le fondateur du « Programme international pour le suivi des acquis des élèves », le fameux programme Pisa.
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir17 Commentaires
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Posté par Jaspers Marie, vendredi 1 mars 2019, 2:51
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Posté par Naze Guy, jeudi 28 février 2019, 13:26
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Posté par Jaspers Marie, vendredi 1 mars 2019, 0:49
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Posté par De Cuyper Thierry, jeudi 28 février 2019, 11:49
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Posté par Debrabander Jean, jeudi 28 février 2019, 11:47
Plus de commentairesLes items PISA, que ce soit en maths ou en sciences, sont exprimés par des phrases de quelques lignes or les élèves de FWB ne savent ni lire ni écrire car dans le primaire, enseignement de base, on survole la grammaire, la syntaxe, l'orthographe , la production écrite : par exemple, la majorité des élèves ne sait pas identifier le sujet et le verbe dans les phrases, pas plus que les adjectifs épithètes et attributs.Cette incompétence grave, mise en évidence, en février 2018, par l'enquête PIRLS se propagent dans tout le secondaire et atteint l'Université(cf "Nous allons fabriquer les veaux de Facebook, La Libre,27/07/2017).Il est incompréhensible que madame Lafontaine, romaniste, directrice de PISA Belgique n'ait pas compris que la principale cause d'échecs en maths et en sciences est l'incompétence en lecture après le manque de connaissance de base de maths du primaire.Pour tout le monde, PISA, n'interroge pas sur des savoirs scolaires : faux, tous le items de maths exigent des connaissances du primaire : calculs de longueurs, d'aires, de volumes, d'échelles, etc mais pas de connaissances du calcul algébrique ou de géométrie vues dans le DI.
"apprentissage actif" : belle idée - mais il faudrait pour cela que les élèves s'impliquent, travaillent... on a souvent l'impression de les embêter s'ils doivent "faire" quelque chose eux-mêmes - le diplôme (même universitaire) devient un "droit" non accompagné de devoirs...
Excellente que je partage à 100%! Que devient un diplôme obtenu comme un droit et non plus comme une attestation de connaissances et compétences?Le problème est grave car il sera indispensable de trouver un autre moyen de validation des compétences! Il est effrayant d'imaginer que tout individu aurait le droit d'avoir un diplôme de médecin car alors à qui pourrions-nous encore confier notre vie???Ce problème nous concerne tous, malades potentiels!!!
Espérons que le quotidien Le Soir en parle dans les futurs articles. Ce sera riche en information pour en débattre!!
« Les réformes menées en Belgique iront dans le bon sens, si elles associent les enseignants à la conception même de ces réformes ». Il aurait peut-être fallu y penser plus tôt