Le musée Delvaux autrement
Ciblant les fresques réalisées par Paul Delvaux dans la maison Périer en 1954, l’exposition invite à la redécouverte du musée de Saint-Idesbald.

Le musée Paul Delvaux, sous l’égide de la Fondation, s’est sensiblement agrandi au cours des dernières décennies et sa collection s’y déploie sur quelque 1.000 mètres carrés. On est passé du petit musée intimiste du Vlierhof conforme à la modestie du peintre, à sa frilosité sociale, au musée d’aujourd’hui, plus actuel, plus dynamique. Un musée qu’on peut voir, en début de cette saison 2019, comme un compromis du musée que d’aucuns rêvaient dans la capitale, à quelques encablures du musée Magritte, projet désormais sans lendemain.
Depuis quelques années, le musée de Saint-Idesbald est face à un défi qu’il s’efforce de relever. Il lui faut contenter différents publics, simples vacanciers ou amateurs du peintre parfois internationaux, amender ce qui était son point faible au départ, quand il faisait la part trop belle à l’imagerie, au folklore et autres aspects anecdotiques de l’œuvre au détriment d’une vision plus qualitative et scientifique.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
La personnalité de Delvaux infusait le musée ce qui pour moi était une grande partie de l'attrait de cet endroit. J'espere que cet aspect n'est pas perdu.