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Quitter Bruxelles: les remèdes des partis contre l’exode urbain

Toutes les formations francophones insistent : il n’y a pas de mesure miracle. Leur objectif ? Améliorer la qualité de vie en ville.

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Journaliste au service Monde Temps de lecture: 4 min

En 2017, la population bruxelloise a crû de 7.122 habitants… Derrière ces chiffres, un boom démographique : 17.709 naissances pour 9.031 décès, soit un solde naturel de 8.678. Un solde migratoire international important : 12.580 citoyens supplémentaires (38.193 quittent, 50.733 arrivent). Mais aussi un solde migratoire interne (on quitte Bruxelles pour la Wallonie ou la Flandre) encore plus massif : 14.301 Bruxellois de moins (25.129 arrivées, 39.430 départs) (1). C’est ce qu’on appelle l’exode urbain qui existait avant la Région bruxelloise et se poursuit, comme l’expliquait notre dossier Ihecs/Le Soir.

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6 Commentaires

  • Posté par Vercruysse Louis, mercredi 13 mars 2019, 10:51

    a haren tout est fait pour que les habitants partent y a t il colussion des politicorumconbinardS

  • Posté par Philippe Arnould, lundi 11 mars 2019, 17:04

    Construire un mur autour de la ville, façon Berlin ? Lol. Si on arrêtait juste à faire des aménagements urbains pour plaire aux bobos, à faire des travaux tout le temps, n'importe comment, à faire une politique antivoiture et de ralentissement de la construction, les conditions à Bruxelles seraient plus faciles. Le tout TEC, c'est bien gentil, mais déjà les tram-bus sont en conflit avec les autres transports - et créer des voies exclusives pour eux, réduit la fluidité du trafic ailleurs ⇒ plus de bouchons -, soit déjà saturés - on a un métro toutes les 3 minutes aux heures de pointe, en mettre toutes les minutes, ça devient risqué -, et augmenter n'importe comment aboutira à ce qu'il y aura plein de transports vides ⇒ – C'est pas gratuit — Ça alourdit le trafic – c'est anti-écolo, sachant qu'un bus avec 2 personnes dedans, ça pollue beaucoup plus qu'une voiture avec 2 personne dedans.

  • Posté par NOBEN Karl, mardi 12 mars 2019, 19:12

    qu'appelez-vous une politique "antivoiture" ? réduire le débit aux entrées permet simplement de déplacer les bouchons vers l'extérieur de la ville afin de ne plus donner la fausse impression qu'il n'y a que la petite ceinture et les pénétrantes urbaines (comme l'axe Belliard/Loi qui sont saturés). Créer des voies dédiées dans l'hypercentre ne réduit pas la capacité globale de la ville (qui est limité par la capacité des pénétrantes), le maillage des rues bruxelloises et la relative planéité de la ville permet de dédier des rues aux bus ou trams là ou les boulevards ne sont pas assez larges comme rue du Luxembourg. Par ailleurs, un bus remplace 20 voitures en heure de pointe et soulage d'autant la circulation. Poru ce qui est de la fréquence du métro, elle peut encore augmenter, notamment en automatisant la conduite et la question des rames vides en heure creuse admet également des solutions (fréquences réduites voir transfert en surface comme à Charleroi). Par ailleurs, désolé, mais un bus au gaz ou hybride avec 2 voyageurs ne pollue pas plus que deux voitures diesel (et à Bruxelles, c'est extrêmement rare d'avoir une fréquentation aussi faible, si ce n'est en bout de ligne). On attend par contre votre analyse sur les questions de qualité de l'air, de cout du stationnement, de cout de la congestion et d'exode urbain qui est le thème de cet article.

  • Posté par Bayens Remi, lundi 11 mars 2019, 11:52

    Des remèdes ? Je suis étonné de la campagne électorale des communales: aucun parti a parlé d'emploi, la région a le plus haut taux de chômage de la Belgique. Il semble que pour la campagne législative ce problème est aussi absent. Si Bruxelles continue à éjecter des entreprises parce qu'elles polluent nous courrons vers une société où il n'y aura plus que des fonctionnaires et des assistés sociaux. Nous sommes une région qui doit équilibrer ses rentrées avec de la productivité et non pas attendre des aides des 2 autres régions. Les usines autour du canal sont remplacés par des musées. Ah! qu'elle était belle belle au temps où Bruxelles' Brusselait' parce que l'on y produisait. Si on veut une région bobo ou du samusocial, on y va tout droit. En tout cas, la classe moyenne productive n'y retrouve pas son compte mais c'est elle qui paye.

  • Posté par LIENARD NORBERT, lundi 11 mars 2019, 12:46

    Bon résumé mais c est pas grave écolo propose de faire tourner la planche à billets ,donc ça va aller

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