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Les grands chantiers de Bruno Venanzi au Standard

Le nouveau patron du Standard affirme qu’il n’est nullement lié à Lucien D’Onofrio dans son rachat du Standard.

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Un peu moins d’une semaine après avoir finalisé le rachat du Standard, Bruno Venanzi s’installe de plus en plus dans la peau du propriétaire de l’enceinte de Sclessin, de l’Académie Robert Louis-Dreyfus et d’un noyau important de joueurs. Même s’il entend s’aider à l’avenir d’un directeur général « issu de l’équipe actuelle » – Bob Claes, le responsable commercial, semble avoir les faveurs du pronostic –, il sera omniprésent au club pour en gérer la gestion quotidienne. Une cassure assez nette avec un Roland Duchâtelet qui effectuait d’épisodiques passages dans les installations du club. Mais un homme d’affaires qui a peut-être choisi lui-même son successeur. On pourrait le penser en écoutant le nouveau boss de Sclessin revenir sur la genèse du rachat lors d’un de ses premiers entretiens depuis la passation de pouvoirs.

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