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Julian Assange condamné à 50 semaines de prison pour violation de sa liberté provisoire

Le fondateur de Wikileaks doit également comparaître au tribunal ce jeudi pour sa possible extradition aux Etats-Unis.

Temps de lecture: 1 min

Julian Assange a été condamné mercredi à 50 semaines de prison par un tribunal londonien pour violation des conditions de sa liberté provisoire, après s’être réfugié pendant sept ans dans l’ambassade d’Equateur à Londres.

Assange avait obtenu l’asile dans l’ambassade d’Equateur en 2012 pour éviter de se présenter à la justice britannique et d’être extradé vers la Suède, où il était accusé de viol, un dossier depuis classé. Il a été délogé le 11 avril de l’ambassade par la police britannique et présenté le jour-même à la justice qui l’avait reconnu coupable.

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Julian Assange comparaîtra également jeudi lors d’une audience cette fois consacrée à la demande de Washington de l’extrader vers les Etats-Unis, où il est accusé de «piratage informatique».

 

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3 Commentaires

  • Posté par Clodong André, mercredi 1 mai 2019, 15:49

    M.Assange passera encore de longues années en prison dans un ou plusieurs états. Le piratage informatique dont il s'est rendu coupable pèsera lourd dans la balance. Il ne faut surtout pas en faire un héro.

  • Posté par Naeije Robert, mercredi 1 mai 2019, 20:21

    Il y a des plaintes contre lui, prises en charge par des systèmes judiciaires de pays parfaitement démocratiques (Grande Bretagne, Suède, USA). Pourquoi tentait-il de les fuir? Lui qui a tant prôné la transparence, il pourrait l'appliquer à sa personne.

  • Posté par Henrard Marc, mercredi 1 mai 2019, 19:30

    Vous avez peut-être des informations que personne d'autre n'a! Ni Assange ni Wikileak n'ont fait de "piratage". Ils ont fait un travail de journalistes et publiés des informations d'intérêt general sur les comportements inacceptables de pays (US, UK, etc.) et de politiciens (Clinton, etc.). Ce travail est protégé partout dans le monde par la liberté d'informer. Mais les états et les personnes mis en cause cherchent des moyens détournés de faire cesser la diffusion de ces informations. Ce n'est peut-être pas un héros, mais certainement un journaliste qu'il faut remercier pour son travail.

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