(Victor) Frankenstein Les Karyatides accouchent d’un beau monstre
Raconter Frankenstein en théâtre d’objet ? Bon sang, mais c’est bien sûr ! L’un ressuscite des morts, l’autre ranime des objets abandonnés, et tous deux créent des créatures hors-norme.
En tournée jusqu'au 23 avril 2021.
Article réservé aux abonnésPar Catherine MakereelTemps de lecture: 2 min
Cette forme nous a subjuguée plus sûrement qu’un Boris Karloff au cou farci d’électrodes. Pourtant, la mise en scène de Karine Birgé s’éloigne radicalement de ce stéréotype du film d’horreur pour façonner une pièce subtile, sur le fil de l’émotion plutôt que du spectaculaire. Habituée à adapter les grands classiques en théâtre d’objet –
Carmen, Madame Bovary, Les Misérables
ou encore les œuvres de Rabelais sont déjà passés sur sa fameuse table à manipuler –, la compagnie des Karyatides ne pouvait que s’attaquer, un jour ou l’autre, au chef-d’œuvre de Mary Shelley.
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Délice estival au Lac de Genval avec une comédie de Céline Scoyer sur nos désirs (utopiques) de déconnexion du monde moderne. Une pièce hilarante en cocasse symbiose avec son décor naturel.
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