Elections 2019: à deux semaines des urnes, la campagne est insaisissable
Deux politologues la qualifient en six termes choisis : incohérence, incertitude, 2.0…


Esprit es-tu là ? Cette maxi-campagne électorale a-t-elle un sens ? Quel est-il ? Qu’est-ce qui la caractérise ? A deux semaines des urnes, nous avons demandé à Pascal Delwit, politologue à l’Université libre de Bruxelles, et Catherine Xhardez, docteur en sciences politiques à Saint-Louis, chercheuse à l’université Concordia à Montréal, de choisir, chacun, trois mots illustrant à leurs yeux la campagne en cours.
Un peu de l’impressionnisme, mais le tableau apparaît de cette façon plus clairement. D’abord par la dose d’incertitude, forte pour cette édition 2019. Catherine Xhardez et Pascal Delwit partagent. A commencer par ceci, pour ce qui concerne la compétition en tant que telle : selon que la N-VA sera ou non incontournable, notre paysage politique offrira un tout autre profil, et donc les gouvernements qui s’élanceront après le 26 mai.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
A méditer ... et paru à la dernière page du Soir de ce jour : « L’Etat est le plus froid des monstres froids. Il ment froidement ; et voici le mensonge qui s’échappe de sa bouche : “Moi l’Etat, je suis le peuple.” » FRIEDRICH NIETZSCHE
peuple ,nous sommes encore plus a la merci de nos 30 000 politicocumucombinards
Avons-nous appris quelque chose de ces deux experts? On sait à présent selon eux que l'on ne sait rien!