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Que s’est-il passé dans la tête d’Alexis Tsipras ces 48 dernières heures?

Tsipras a demandé aux Grecs de voter non au référendum mais semblait prêt à accepter les propositions des créanciers.

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Le ton est direct, le regard droit et l’intervention… laconique. Alexis Tsipras s’est adressé solennellement à la nation hier après-midi pour appeler de nouveau les Grecs à voter « non » au référendum du 5 juillet prochain. C’est-à-dire « non » aux mesures d’austérité proposées par les créanciers le 25 juin.

Et pourtant depuis hier le Premier ministre grec avait rejoint la table des négociations et se disait prêt à accepter, à quelques amendements près, les propositions des créanciers de la semaine dernière, en échange d’un nouveau prêt de 30 milliards et d’une renégociation de la dette publique grecque. Pendant 48 heures, l’ensemble du gouvernement avait mis en sourdine la rhétorique pour le « non », attendant une réponse, notamment de l’Allemagne et de la France.

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