Le mode de consommation plus proche, réduisant le nombre d’intermédiaires entre le producteur et le consommateur, devient plus visible. Mais l’économie des circuits courts est considérée comme trop « micro ».
Article réservé aux abonnés
Invalid Scald ID.
Par Olivier Fabes
Temps de lecture: 3 min
C
e n’est plus un truc de bobo, réservé à quelques éclairés », affirmait Véronique Cabiaux, directrice de l’AEI (Agence wallonne pour l’entreprise et l’innovation) en conclusion des 3e Rencontres des circuits courts, le 15 janvier. Et dans une Ferme du Biéreau pleine comme un œuf (bio), tous les intervenants – du ministre Marcourt aux experts académiques, en passant par bon nombre d’entrepreneurs – se réjouissaient de l’intérêt pour un mode de consommation « plus proche », où le nombre d’intermédiaires entre le producteur et le consommateur est réduit au strict minimum. Un déclic serait en train de se produire. Les gens seraient plus attentifs que jamais à ce qu’ils mangent, au respect des saisons, etc. Même si
« c’est pas parce que c’est Wallon que c’est bon »,
Cet article est réservé aux abonnés
Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois
(sans engagement)
Les ministres fédéraux du Climat et de l’Economie ont présenté les douze lauréats du premier appel à projets consacré à l’économie circulaire. Un deuxième appel est ouvert jusqu’en juin 2023. Budget total du soutien : 22 millions d’euros.
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire