Incursions dans les trois cultes du Livre
A la mosquée, à la synagogue ou à l’église, les croyants sont à la recherche d’une même parenthèse spirituelle hors du temps.


Vendredi midi à la mosquée, entre foi et distraction
Le numéro 68 de la rue Joseph-Claes présente une façade comme une autre. Il faut connaître le lieu pour savoir qu’il s’agit d’une mosquée. « Moi, je l’ai googlisée, explique tout net Safia, jeune diplômée en journalisme de l’ULB. J’ai tapé “mosquée en français, Bruxelles”, il n’y en a qu’une ! » Ailleurs, l’arabe est encore dominant, même si de plus en plus de prêches sont traduits en français. Pour Salima, Jalila, Wisam et Safia, qui ont toutes entre vingt et trente ans, le choix de la mosquée Arabita s’imposait : « Pendant toute notre enfance, on a suivi nos parents à la mosquée… sans rien comprendre ! »

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