Biotechnologies: Bioxodes mise sur les vertus de la salive de tique
La biotech carolo lève 7,6 millions de plus pour financer les essais cliniques de phase 1 de son anticoagulant


Utiliser les vertus de la salive de tique pour développer une nouvelle classe d’anticoagulant. C’est le pari à première vue un peu loufoque que s’est fixée une jeune société biotech basée à Gosselies, Bioxodes. Rien de plus sérieux pourtant. Son approche suscite l’engouement de la communauté des investisseurs. Forte de premiers résultats pré-cliniques sur des modèles animaux, la société vient de clôturer une nouvelle levée de fonds – la deuxième de sa courte existence.
Résultat ? 5 millions de capital supplémentaire auxquels il faut ajouter 2,65 millions d’avances récupérables provenant de la Région wallonne. Parmi les actionnaires, on retrouve des fonds publics (SFPI, Financière spin-off luxembourgeoise, Sambrinvest.) mais aussi toute une série de « business angels » bien connus dans le monde de la biotech belge comme Désiré Collen (Life science Research Partners), Jean Stéphenne (ex-GSK), Pierre Drion (ex-Petercam), Rodolphe de Spoelberch (lié aux familles AB InBev).

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