Les enseignants du secondaire se sentent mal aimés
Selon une enquête de l’OCDE, si les enseignants sont contents de leur choix de carrière, ils se sentent néanmoins dévalorisés par l’image que la société a de leur profession.


Après Pisa, voici « Talis ». Rien à voir avec un train à grande vitesse. Talis est l’acronyme de « Teaching And Learning International Survey », une enquête internationale administrée par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) dans une cinquantaine de pays du monde, dont la Belgique. En donnant la parole aux enseignants, elle tente de baliser les conditions d’exercice du métier, s’intéressant plus particulièrement aux professeurs et aux chefs d’établissement du premier degré de l’enseignement secondaire.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Quel est l'intérêt de ce genre d'étude ! C'est une évidence! La raison? Des pédagogues en mal de publication! Excellente réflexion! Voilà le genre de travail que font les pédagogues en mal d'articles! Et nous payons pour ces évidences! L'enseignement a été boulversé dans les années 60 par les "maîtres pédagogues liégeois, de Lanschere et Crahay" et D.Lafontaine est dans leur lignée! Pierre Hazette, ministre de l'Education! L'enseignement ne serait pas au niveau le plus bas si tous ces gens avaient été exclus dès le départ! Les profs n'ont pas besoin de ces donneurs de leçon alors qu'ils ne font rien d'efficace! Pas besoin de ces surveillants de travaux finis!Pour information, Valérie Quittre n'est pas une VRAIE universitaire : c'est une institutrice qui a fait un master en Sciences de l'Education.Les vrais universitaires sont ceux qui ne circuitent pas les bacs ,révélateurs des potentialités réelles, mais ceux qui les réussissent!
La valorisation passe par le salaire dans une société purement vénale. La valorisation passe par le sérieux que le parents donnent à ce que les professeurs font, disent et proposent. La valorisation passe par la position d'un professeur dans la société civile par rapport à un PDG, Directeur ou Politicien par ex. C'est comme cela que nous allons revenir à des fonctions importantes dans le village modérne.
Pour les enseignants, il est stupéfiant de ne pas être respectés par les dirigeants, même, de l'école : la réforme aurait du être concoctée par les enseignants de terrain qui auraient pu, mieux que quiconque, faire l'analyse des causes des échecs et du malaise dans l'enseignement.Il ne leur est pas nécessaire de faire des études statistiques théoriques auxquelles on peut faire dire tout et son contraire, ils les vivent au quotidien! Mais Madame Milquet a préféré la confier à son ami Etienne Denoël, directeur McKinsey, Belgique à l'époque.Madame Schyns a continué dans la même direction en prétendant que tous les acteurs de l'école avaient été consultés mais ceux-ci se réduisaient aux associations de parents (sic, acteurs de l'école!) et les syndicats qui ne se préoccupent que de l'emploi : le pédagogique, ils ignorent!!! Alors oui, les enseignants ont été insultés par les deux ministres Milquet et Schyns!