Pour les jeunes, «la religion a encore beaucoup d’importance»
Religieux ou pas, beaucoup de jeunes sont convaincus que les croyances sont encore bien présentes au sein de leur génération. Rencontre avec quelques adolescents bruxellois.


Où les jeunes ont-ils rangé leurs convictions religieuses ? Aux oubliettes ? Sous leurs semelles pour mieux les piétiner ? A l’inverse dans un coin de leurs têtes, capables qu’ils sont de s’y accrocher lorsqu’une adversité se présente ? Dans leurs « cœurs » comme une part de leur intimité qui ne regarde qu’eux ? En frontispice de leurs identités ? En bandoulière ? Dans le cadre du colloque « La religion dans la cité » organisé par l’ULB, Le Soir et la RTBF, nous nous sommes glissés dans trois écoles de l’enseignement officiel (Institut Bischoffsheim) et libre, confessionnel (Institut Maris Stella) et non confessionnel (Inraci) pour constater qu’entre ces jeunes et leurs parents, la sécularisation de la société – qui a longtemps été le cadre pour envisager l’évolution des convictions religieuses - n’a pas forcément avancé aussi vite qu’annoncé. En tout cas, qu’en la matière, les absolus n’existent pas.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
L'article ci-dessus de Mathieu Colinet est tout sauf objectif ! Sa phrase suivante en dit long : "Tous les jeunes rencontrés ou presque en sont convaincus : la religion garde selon eux une place importante dans la société. Parce qu’eux-mêmes croient en un dieu et qu’ils ont aménagé leur quotidien en conséquence." "Tous les jeunes rencontrés ou presque" !!! Le reportage a-t-il été effectué à la sortie de la messe?