Et si l’échec était une fenêtre qui s’ouvre?
L’éditorial de Béatrice Delvaux, éditorialiste en chef.


Votre fils ou votre fille est revenu(e) avec un bulletin bardé d’échecs ? Un seul remède : achetez ou empruntez le livre Les vertus de l’échec du philosophe Charles Pépin. Pas pour votre enfant, pour vous. Ce serait même une lecture d’été hautement recommandée pour tous, histoire de dégoupiller la grenade prête à exploser à chaque fois que nous avons le sentiment d’avoir raté notre coup, d’être à côté de l’objectif visé. Afin surtout de piétiner cette double peine qui consiste à penser que notre échec nous met plus bas que terre – « Je ne suis qu’un nul » – en même temps qu’il nous humilie – « Mais qu’est-ce que les autres vont penser de moi ? ».

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