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Uberiser n’est pas partager

Uberpop suspend ses activités en France, poussé par le gouvernement. En Belgique, le service est illégal mais poursuit ses activités. L’américain se pose pourtant en chargé de communication de l’économie de partage. Bouc émissaire ou vrai coupable ?

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Journaliste au service Economie Temps de lecture: 5 min

L’économie collaborative à la cote. Normal : partager sa maison, sa voiture, sa nourriture, ses talents… C’est sympathique, utile, et par les temps qui courent, vital parfois. Pourtant ambassadeur de choc de cette nouvelle tendance depuis plusieurs mois, l’américain Uber a suspendu vendredi soir les activités de son service de covoiturage entre particuliers, UberPop, en France. « Nous voulons préserver la sécurité de nos chauffeurs », dixit le porte-parole de l’entreprise. Jeudi dernier, des manifestations violentes avaient éclaté dans plusieurs villes françaises. Des chauffeurs de taxis s’en étaient pris à des chauffeurs UberPop. Le ministre français de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait donc « effectivement », via un arrêté, interdit les activités d’Uber dans l’Hexagone. Chez nous, le service de covoiturage entre particuliers a également été jugé illégal, ce qui n’empêche pas ses chauffeurs de conduire toujours un nombre croissant de passagers dans la capitale.

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