Une ville qui bouillonne et ne cesse de se renouveler

Avignon et son festival de théâtre qui vient de démarrer, Arles et ses Rencontres de la photographie qui fêtent leurs 50 ans, comme chaque été plusieurs villes du Sud de la France sont sous le feu des projecteurs.

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Au Musée Fabre, les « Chemins de traverses » de Vincent Bioulès dévoile le parcours libre et trop peu connu de Vincent Bioulès, allant de la figuration à l’abstraction et retour en passant par le mouvement Supports Surfaces.

Chef adjoint au service Culture

Par Jean-Marie Wynants

Publié le 5/07/2019 à 18:32 Temps de lecture: 2 min

Mais en 2019, c’est du côté de Montpellier que se tournent les regards.

À une heure de route des deux précitées, Montpellier se réinvente depuis plusieurs années avec la culture en guise d’étendard. En sortant de la gare, il faut deux minutes à pied (en comptant large) pour atteindre le Moco, tout nouveau lieu dédié à l’art contemporain. Trois minutes de plus et vous voici à l’Opéra Comédie où se donnaient une partie des spectacles de Montpellier Danse comme celui de William Forsythe. D’autres représentations avaient lieu à cinq minutes à peine, dans la gigantesque salle du Corum où Angelin Preljocaj présentait son Winterreise.

Entre ces deux salles, le visiteur a l’occasion de s’arrêter à plusieurs reprises : au Pavillon Populaire où la photographe Lynne Cohen expose son travail ou au Musée Fabre où l’on peut découvrir l’univers trop méconnu de Vincent Bioulès.