Bernal: «Le chrono? Je m’attends à une demi-heure de souffrance»

Actuel porteur du maillot blanc, Egan Bernal a tout pour ramener ces mailles à Paris. « Même si ce n’est pas l’objectif prioritaire, si prestigieux soit ce maillot. Monter sur le podium à la fin de l’étape est un moment énorme mais nous sommes là pour gagner le Tour. Que ce soit moi ou Geraint », assure le tout jeune Sud-Américain, vingt-deux ans et une assurance qui commence à s’affirmer sur le vélo comme devant les caméras. En Occitanie, le vainqueur de Paris-Nice et du Tour de Suisse a multiplié les réponses en espagnol comme en anglais, serein comme s’il évoluait loin de toute la pression. De ces projections plus que sensées qui le voit, d’ici une dizaine de jours, en jaune à Paris. « Mon premier Tour, l’année dernière, m’a permis d’emmagasiner de la confiance et de l’assurance », explique l’escaladeur, vainqueur du Tour en puissance, même s’il préfère tempérer ce propos. « On est bien dans la bagarre. Jusqu’ici, rien ne nous a troublés et nous n’avons jamais dû travailler pour défendre un maillot.

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