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L’Évangile au temps de Matteo

Immersion parmi les catholiques de la périphérie des villes, divisés entre l’appel à l’accueil du pape et l’appel à fermer les ports de Salvini. De Naples à Turin, c’est souvent l’homme politique qui l’emporte.

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Le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, développe une forte rhétorique anti-migrants. En même temps, il utilise les symboles du catholicisme dans ses apparitions médiatiques : chapelets, crucifix, invocation à la Vierge Marie… Une « instrumentalisation » dénoncée au début de l’année par l’Eglise catholique. La Repubblica est allée à la rencontre de catholiques italiens, pour comprendre comment ils vivent les injonctions apparemment contradictoires de Matteo Salvini et de Luc 10, 25-37 (évangile d’un tout récent dimanche) : le bon Samaritain aide l’homme en difficulté, il n’en a que faire qu’il soit immigré ou juif, il ne voit en lui qu’une personne en détresse, il ne dit pas : « Les Samaritains d’abord. » Comment voit-on les choses ? Qui joue le bon Samaritain en Italie ?

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