Londres, terre d’accueil pour les animaux
Renards et faucons, écureuils et coléoptères : pas moins de 13.000 espèces cohabitent dans les pelouses, jardins et forêts verticales de la capitale britannique, qui a décroché le titre de « premier parc national urbain au monde ».
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C’est un peu comme quand, dans ses Esquisses de Boz, Charles Dickens, qui décrit et exalte une capitale anglaise carbonisée par l’industrie, parle des « parcs poumons de la ville ». C’est pour le moins un paradoxe : comment une métropole de la taille de Londres peut-elle être la première ville au monde à obtenir, de la part de la National Park City Foundation, le titre de « parc national urbain », comme s’il s’agissait du parc Yosemite ou du Lake District, qui a tant inspiré William Wordsworth ou John Ruskin ?

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
C'est une évidence, on y assiste même à l'éclosion de maladies particulièrement dangereuses telles que la "bojo trumpidus" dont beaucoup espèrent, y compris dans les rangs conservateurs, que le parlement débarrassera cette grande île en voie d'isolement dans les mois qui viennent. Certains veulent croire qu'un accord commercial avec les Etats-Unis ou le Commonwealth peut remplacer le "EU membership". Il suffit de constater les disparités existantes dans un sens ou dans l'autre, pour se rendre compte que le Royaume-Uni et les membres du Commonwealth qui bénéficient d'avantages certains ont beaucoup à perdre sur le plan commercial et dans le cadre des programmes de développement,s'ils se retirent de la Convention de Cotonou.
La capitale britannique compte depuis peu une nouvelle espèce, le borisjohnsonus, une sorte d'ursidé, dont le comportement est assez imprévisible et souvent destructeur.
:-)
Pour terminer l'exposé, il serait bon de donner une idée du prix au M2 d'habitation dans ces petits paradis, puis d'aller jeter un coup d'oeil à la situation en lointaine banlieue là où les prix et loyers permettent à des gens normaux de se loger. Un peu comme à Bruxelles.