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Londres, terre d’accueil pour les animaux

Renards et faucons, écureuils et coléoptères : pas moins de 13.000 espèces cohabitent dans les pelouses, jardins et forêts verticales de la capitale britannique, qui a décroché le titre de « premier parc national urbain au monde ».

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Temps de lecture: 4 min

C’est un peu comme quand, dans ses Esquisses de Boz, Charles Dickens, qui décrit et exalte une capitale anglaise carbonisée par l’industrie, parle des « parcs poumons de la ville ». C’est pour le moins un paradoxe : comment une métropole de la taille de Londres peut-elle être la première ville au monde à obtenir, de la part de la National Park City Foundation, le titre de « parc national urbain », comme s’il s’agissait du parc Yosemite ou du Lake District, qui a tant inspiré William Wordsworth ou John Ruskin ?

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4 Commentaires

  • Posté par Andre Georges-marc, samedi 27 juillet 2019, 21:16

    C'est une évidence, on y assiste même à l'éclosion de maladies particulièrement dangereuses telles que la "bojo trumpidus" dont beaucoup espèrent, y compris dans les rangs conservateurs, que le parlement débarrassera cette grande île en voie d'isolement dans les mois qui viennent. Certains veulent croire qu'un accord commercial avec les Etats-Unis ou le Commonwealth peut remplacer le "EU membership". Il suffit de constater les disparités existantes dans un sens ou dans l'autre, pour se rendre compte que le Royaume-Uni et les membres du Commonwealth qui bénéficient d'avantages certains ont beaucoup à perdre sur le plan commercial et dans le cadre des programmes de développement,s'ils se retirent de la Convention de Cotonou.

  • Posté par Smyers Jean-pierre, samedi 27 juillet 2019, 14:22

    La capitale britannique compte depuis peu une nouvelle espèce, le borisjohnsonus, une sorte d'ursidé, dont le comportement est assez imprévisible et souvent destructeur.

  • Posté par SMETS Henri, samedi 27 juillet 2019, 15:27

    :-)

  • Posté par Mi Chel, samedi 27 juillet 2019, 10:51

    Pour terminer l'exposé, il serait bon de donner une idée du prix au M2 d'habitation dans ces petits paradis, puis d'aller jeter un coup d'oeil à la situation en lointaine banlieue là où les prix et loyers permettent à des gens normaux de se loger. Un peu comme à Bruxelles.

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