Il faut absolument voir cette troublante adaptation de « La Mouette » de Tchekhov, pour une comédienne et une marionnette.
Du 20 avril au 1er mai 2021 au Théâtre national (Bruxelles).
Article réservé aux abonnésPar CATHERINE MAKEREEL
Temps de lecture: 3 min
A quoi ça tient, la folie ! Dans la vie, une telle performance vaudrait à Tita Iacobelli d’être immédiatement envoyée à l’asile psychiatrique. Seulement voilà, son jeu schizophrène, à faire pâlir un Jack Nicholson, se déploie sur une scène de théâtre. Résultat : on tient là une hallucinante démonstration d’actrice. Sans compter que la mise en scène, cosignée par Natacha Belova, et surtout son travail sur la marionnette et les objets, achèvent de nous envelopper dans une pièce complètement démente sur les gouffres vertigineux de la vieillesse mais aussi du théâtre.
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Au Théâtre Varia à Bruxelles avant le Théâtre de Namur, Nelly Latour compose le portrait ténébreux d’une jeunesse paumée, dont les maladroits élans de vie et d’amour s’échouent comme des baleineaux blessés sur les rives d’un monde indifférent.
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