Non-lieu en faveur de l’ex-coach de Charline Van Snick
La justice a conclu qu’aucun élément ne permettait d’impliquer Damiano Martinuzzi dans l’affaire du contrôle positif à la cocaïne de la judokate.

La justice a prononcé un non-lieu dans l’affaire opposant la judoka Charline Van Snick à son ancien coach Damiano Martinuzzi, a fait savoir ce dernier. La championne d’Europe en titre avait déposé une plainte pénale avec constitution de partie civile le 24 octobre 2013 à la suite de son contrôle positif à la cocaïne lors des championnats du monde de Rio de Janeiro le 26 août de la même année.
Médaille de bronze, Van Snick avait perdu celle-ci et été suspendue deux ans pour dopage le 3 janvier 2014. Le 4 juillet de la même année, le Tribunal arbitral du sport (TAS) avait accepté l’explication du sabotage et annulé la suspension de deux ans.
Charline Van Snick soupçonnait Martinuzzi d’être responsable de ce contrôle positif en ayant introduit la cocaïne dans sa poudre Energy Boost.
La justice liégeoise a enquêté pendant deux ans avant de conclure qu’aucun élément ne permettait d’impliquer Martinuzzi.

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