Accueil Culture Scènes

Marina Pangos: My fervente lady

Ils l’ont fait ! Grâce à l’épatante Marina Pangos, l’équipe du festival Bruxellons réussit à faire oublier le film de 1964 avec Audrey Hepburn. De Broadway à Molenbeek, « My Fair Lady » accomplit un sacré bout de chemin.

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 3 min

On aura vécu pour voir se mélanger Marx et Audrey Hepburn, mais aussi Bourdieu et Walt Disney. Si si ! Vous êtes sceptiques ? Foncez au Château du Karreveld découvrir My Fair Lady , comédie musicale américaine adaptée en français au festival Bruxellons, et vous verrez : Marx pour la plongée dans le prolétariat londonien ; Audrey Hepburn pour la classe intersidérale de la comédienne principale ; Bourdieu pour l’importance du capital culturel dans la distinction des classes ; et enfin, Walt Disney, parce qu’on reste tout de même dans le registre du conte de fées avec robes de princesses et parenthèses (en)chantées.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

1 Commentaire

  • Posté par Collignon Jean-michel, mercredi 7 août 2019, 17:46

    Excellent commentaire d’une comédie musicale sublime! Je l’ai adorée! Bien d’accord avec vous au sujet du talent remarquable de l’héroÏne! Tant son jeu que sa voix sont superbes! Myriam Lobet

Aussi en Scènes

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs