Les écoles belges rayonnent à l’étranger
La réputation des écoles belges n’est plus à faire. Tournées vers la pratique, accessibles, elles attirent nombre d’étudiants étrangers.


I l faut concevoir une école comme un maillon d’une chaîne, expliquait en 1967 Jean-Claude Batz, directeur du bureau de production de l’Insas dans l’émission « Ecran 67 » sur la RTBF, alors que l’école venait à peine de voir le jour. Un maillon qui prépare à une série d’activités, dans ce cas-ci dans le domaine du spectacle, cinéma, radio-télévision et théâtre. Ces industries, dans tous les pays d’Europe, sont particulières et soutenues par des subventions d’Etat. Leur développement est donc fonction d’une politique culturelle nationale. En définitive, le destin d’une école comme celle-ci ne peut se concevoir que dans la perspective du développement de cette politique culturelle nationale (…), notre politique dans ce domaine est une plaisanterie. » À l’époque, loisir et activités culturelles commencent leur essor, ce qui induit un besoin de formation dans ces domaines.

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