Négociations gouvernementales: l’appel des patrons flamands laisse les Wallons interdits
Le monde de l’entreprise attend une réflexion sur le long terme avec un gouvernement qui a le courage de « lancer des discussions pas populaires ».


L’appel de cinquante patrons flamands au(x) gouvernement(s), mardi matin dans le Tijd, a trouvé un écho plus que nuancé au sud du pays. Initié notamment par l’ex-PDG de Dexia, Karel De Boeck, et de Cardoen, Karel Cardoen, la lettre ouverte prône une trentaine de conseils de la fiscalité, à la mobilité, en passant par la lutte contre la drogue. Les cinquante signataires, dont Philippe Haspeslagh (Ardo), Vic Swerts (Soudal), Jan De Clerck (Domo) et Bernard Filliers (Filliers), mais également des architectes, des bureaux d’avocats, etc, préconisent entre autres une remise à plat de la fiscalité, avec l’introduction d’une « flat tax » de 20% (travail, dividendes, …) ou d’une taxe sur les énergies fossiles.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir9 Commentaires
-
Posté par Pirotte Raymonde, mercredi 21 août 2019, 14:50
-
Posté par Stroobants Nathalie, mercredi 21 août 2019, 18:54
-
Posté par Brasseur Michel, mercredi 21 août 2019, 8:55
-
Posté par Kabbedijk Irène, mercredi 21 août 2019, 12:12
-
Posté par Dechamps Pascal , mardi 20 août 2019, 22:17
Plus de commentairesComme je les comprends les Flamands...qui n'a pas connu le standing de la Wallonie AVANT les "fameuses" grêves de 1960 ne peut rien comprendre: décadence quand tu nous tiens GRACE aux socialos et aux syndicats!
Bonjour Rémoooonde, vous nous offrez ici un condensé de votre inculture, bravo !
Ceux qui créent de la richesse préfèrent la garder pour eux en geignant sur les gouvernements et la sacro-sainte "conjoncture économique". Et si ils créent de l'emploi, c'est bien involontaire, puisqu'ils n'ont de cesse de licencier à tour de bras pour faire produire toujours plus avec toujours moins de moyens /coûts/personnel !
Monsieur Brasseur : tout à fait!
La flat-tax c'est l'imbécilité de la fiscalité.