Boris Johnson veut-il bâillonner le Parlement britannique sur le Brexit?
Le Premier ministre britannique compte suspendre le Parlement pendant cinq semaines avant la date fatidique de sortie de l’Union européenne le 31 octobre prochain. Un « outrage démocratique » selon ses opposants, qui organisent la riposte.

Même dans les rangs du parti conservateur, la colère gronde. L’ancien chancelier de l’échiquier, Philip Hammond, parle d’« outrage constitutionnel ». Pour le président de la chambre des Communes, John Bercow, c’est un « outrage démocratique ». Sur le réseau social Twitter, le mot-dièse #stopthecoup (arrêtez le coup d’État) est en tête des tendances pour la journée de mercredi. Quant à la pétition « Ne suspendez par le Parlement », elle a recueilli en quelques heures près de 500.000 signatures.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir8 Commentaires
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Posté par Dubois Raymond, jeudi 29 août 2019, 17:37
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Posté par Claeys Alain, jeudi 29 août 2019, 10:28
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Posté par Carré Albin, mercredi 28 août 2019, 21:16
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Posté par Lejeune Englebert Bernard, mercredi 28 août 2019, 21:07
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Posté par Jean Knapen, mercredi 28 août 2019, 20:02
Plus de commentairesComment faire confiance à un homme qui souhaite se faire passer pour un clown ou un pitre " intelligent " ?
Et si c'était tout simplement une manœuvre de Johnson pour forcer la main de l'UE et obtenir les concessions qu'il désire ?
Ce que charrient les réseaux sociaux justifie pleinement qu'ils soient qualifiés d'égouts de la société.
Boris est arrivé là grâce aux "réseaux (dits) sociaux", outils puissants Offerts aux manipulateurs, et de çe fait outils de déstabilisation et de détricotage des démocraties - ici jusqu'à mise au frigo des représentants élus (UK). ... Pourquoi diable continuer à utiliser cette appellation de "sociaux" pour ces pièges à c...
Quand bien même Boris Johnson ne voudrait il pas "vraiment" bâillonner le parlement : L'intentionnalité n'est pas nécessaire à établir un dommage. Le dommage pour la démocratie anglaise me semble évident. Grave. Inquiétant. A qui le tour en Europe ?