Century of smoke saisit une réalité sociale


Au Laos, on dit que la fille d’un empereur est restée vierge jusqu’à la fin de sa vie car sa beauté intimidait les hommes. Sur sa tombe, une fleur se développa entre ses seins, portant un fruit d’où coulait un nectar (l’opium). En le fumant, vous oubliez tout de l’amour, car il guérit la douleur et vous endort.
Nicolas Graux, qui pratique le « slow cinema », a passé une année, au cœur de la jungle laotienne, à filmer un jeune père de famille et les siens de façon très intime. Cette immersion contemplative dans une jungle suffocante, moite et enfumée fait penser au cinéma de Apitchapong Werasethakul.

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