Benito Raman: «Je suis devenu adulte plus tard que les autres»
Peu banale, l’histoire récente de Benito Raman ressemble quelque part à un conte de fées en version allemande non sous-titrée. Au réveil d’un phénix pas spécialement beau ou spectaculaire à regarder, qui serait en train de renaître des cendres qu’il a laissées en Belgique, du côté de la Ghelamco Arena gantoise ou de Sclessin.

Parti sur la pointe des pieds du Standard, qu’il avait dû abandonner en cours de route en août 2017 parce qu’il n’entrait plus dans les plans de Sa Pinto, ce flanc gauche avait accepté l’idée d’un prêt pas forcément reluisant au Fortuna Düsseldorf, modeste pensionnaire de D2 allemande où beaucoup d’observateurs pensaient qu’il allait s’offrir un enterrement de première classe.

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