Brexit: l’Irlande admet que «certains contrôles auront lieu à la frontière»
Alors que la menace d’un « no deal » se rapproche, Dublin évoque la nécessité de mettre en place certains contrôles à la frontière pour ne pas menacer sa place au sein du marché commun européen

Je peux te le dire Leo, je veux un accord » : c’est ce qu’a déclaré le Premier ministre britannique, lors de sa venue à Dublin, le 9 septembre dernier. Pourtant, Boris Johnson s’oppose à la mise en place d’un backstop (filet de sécurité), seule solution actuellement sur la table pour éviter un « no deal ». L’idée du backstop ? Maintenir l’Irlande du Nord dans le marché commun en cas de Brexit. Mais la date butoir du 31 octobre approche et le Premier ministre irlandais, Leo Varadkar, déclare n’avoir « reçu aucune proposition » de son homologue britannique.

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