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Pacifier la Syrie: sinon par idéal du moins par intérêt

Ces derniers jours, des dizaines de milliers de Syriens ont quitté Alep en quête d’un refuge. Une réponse européenne doit être immédiate. L’édito de Maroun Labaki.

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Chef du service Monde Temps de lecture: 3 min

Et maintenant Alep ! Villes assiégées, villes divisées, villes tombées, villes reprises : cette étrange géographie du malheur devient litanie à la longue, et finit par lasser. C’est naturel. Il faut pourtant combattre cette indifférence, et prendre la mesure de la détresse qui s’est abattue sur Alep, deuxième ville de Syrie, en même temps que les bombes russes. Voilà encore des dizaines de milliers de civils pris au piège de cet infernal écheveau d’intérêts, et poussés sur les routes de l’exil. Ils subissent.

Nous subissons aussi. Tout autre chose. Notamment des flux de réfugiés d’une ampleur jamais égalée, qui ébranlent nos sociétés et jusqu’à notre Union européenne.

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