Grand format - Comment les «clowns maléfiques» ont endommagé l’image des vrais clowns
Le cinéma hollywoodien les transforme en psychopathes, pédophiles, monstres sadiques, serial-killers. Un choc et surtout un contresens, pour les vrais clowns, qui propagent rire, innocence et poésie.


Je suis né très jeune », disait Groucho Marx, qui l’est resté jusqu’à sa mort, à 86 ans. Groucho, comme ses frères Harpo et Chico, était un merveilleux clown. Les Marx Brothers n’avaient pas d’âge. Sinon celui de leur éternelle fantaisie.
Avez-vous remarqué ? Depuis un certain temps, la folle fantaisie des clowns est éclipsée par un étrange phénomène, qui n’est même plus de mode, tant il s’est installé durablement dans la culture de ces dernières années : avec le cinéma hollywoodien, la figure du clown est désormais associée au mal, à la peur, à la folie dangereuse et à la violence. C’est un folklore, défendent les inconditionnels du genre. Si c’est « pour rire », on rit jaune. Et tout le monde ne rit pas.
Il prend cher, le clown, ces derniers temps
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