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Le régime algérien sacrifie quelques têtes

D’anciens hauts responsables du régime algérien, dont des militaires qui eurent naguère tout le pouvoir en main, ont été condamnés. Mais le « système » tient bon.

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Journaliste au service Monde Temps de lecture: 3 min

La scène se passe en pleine nuit à Blida, à 50 km au sud d’Alger. Le tribunal militaire juge une poignée d’hommes et une femme. Accusation  : « atteinte à l’autorité de l’armée » et « complot contre l’autorité de l’Etat ». Des médias avaient annoncé « le procès du siècle ». Mais seuls quelques proches et les avocats ont pu assister aux débats, qui n’ont duré que deux jours. Le président de la cour énonce la sentence : condamnés à 20 ans de prison, l’ex-général Khaled Nezzar (en exil) et son fils Lotfi ; condamnés à 15 ans, l’ex-général Mohamed Mediene dit « Toufik », le général Athmane Tartag, Saïd Bouteflika, frère et ex-conseiller du président déchu, et enfin Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs.

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