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Tunnels bruxellois: le retour à la «normale»?

La crise de mobilité qui agite la capitale pourrait être l’occasion, pour cette dernière, d’effectuer son « mobility shift » et de rejoindre résolument les villes qui sont entrées dans l’ère post-carbone.

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Temps de lecture: 4 min

Démarrée en vue de l’Expo 58, la construction des 29 tunnels routiers et des voies rapides qui traversent aujourd’hui Bruxelles faisait partie d’un vaste projet qui visait à faire de la ville un lieu réservé principalement au travail de bureau et à l’accueil des institutions internationales. L’accessibilité en automobile était au cœur de cette vision fonctionnaliste et moderniste. Même si tous les projets autoroutiers envisagés à l’époque n’ont pu voir le jour, suite à l’opposition de nombreux comités d’habitants, le complexe de tunnels et de voies rapides dont nous avons hérité reste au centre du système de transport bruxellois et permet toujours de traverser la ville de part en part en automobile.

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