Face aux migrants, mouiller l’Otan? Scepticisme…
L’idée lancée lundi par le Premier ministre turc et la chancelière allemande soulève beaucoup de doutes. Les ministres vont « examiner » la question…


Désemparés, impuissants à « endiguer le flux », ne sachant plus à quel « saint » se vouer, voilà donc que deux dirigeants situés en première ligne de la « crise des migrants » s’en remettraient bien… à l’Otan. L’idée, aussi sommairement que soudainement esquissée lundi par le Premier ministre turc Davutoglu aux côtés de la chancelière allemande Merkel, a toutefois reçu – tout au plus – un accueil poli, mardi au QG de l’Alliance atlantique à Bruxelles. Un rôle de l’Otan pour lutter contre des passeurs en mer Egée, où opèrent les garde-côtes turcs et l’agence européenne de surveillance des frontières Frontex, était vaguement évoqué par les leaders des deux pays, deux poids lourds de l’Alliance.

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