Le long chemin de Tarik Moukrime
Après la découverte de son cancer des testicules, le coureur de demi-fond est en train de remonter la pente

Dimanche, il s’est fait un peu mal, mais c’était plus fort que lui. Lui qui affirme que « le plus dur, c’est de voir courir les autres » n’a pu résister à l’appel du Brussels Grand Prix, le meeting organisé au stade Roi-Baudouin. Réfugié tout en haut de la tribune principale, seul, la casquette vissée sur la tête comme s’il avait voulu la jouer incognito, Tarik Moukrime a tout observé. Puis, après avoir été saluer quelques-uns de ses potes, est reparti à Verviers. Deux-cent cinquante bornes pour s’offrir un plaisir masochiste. En fait, une paille par rapport à ce qu’il a déjà pris dans la figure depuis huit mois.

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