L’ardoise salée des maisons de repos pour les CPAS
Les coûts des travaux de rénovation et de mise en conformité des structures d’accueil pour seniors sont lourds et grèvent les budgets. Comme à Namur et Charleroi.

Parmi les dépenses nécessaires qui minent passablement les budgets figurent les travaux de rénovation et de mise en conformité, voire d’extension, des maisons de repos. Le CPAS de Namur par exemple, qui gère cinq maisons de repos et une résidence-services (qui fut, en Wallonie, la première du genre à être « sociale »), vient d’inaugurer son site fraîchement agrandi du Grand Pré à Wépion. Les cinq structures namuroises sont en train de subir une transformation en profondeur. Pour augmenter la capacité ? Pas vraiment. Sur l’ensemble des sites, le nombre de lits reste stable, la hausse n’avoisine que les 5 %. Ce qui fait dire au président de l’action sociale, Philippe Noël (Ecolo), que « pour l’instant, nous restons autour de 500 lits pour cinq maisons de repos. Il faut envisager la création d’une sixième maison de repos ».

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