Marry me in Bassiani Rencontre de la tradition et de la techno
Le collectif (La)Horde est de retour avec un spectacle basé sur la rencontre entre traditions géorgiennes et univers de la techno. Virtuose et révélateur.
Article réservé aux abonnésChef adjoint au service Culture
Par Jean-Marie WynantsTemps de lecture: 4 min
Ils sont venus en voisins. Récemment nommés à la tête du Ballet de Marseille, Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel, plus connus sous le nom du collectif (La)Horde, n’ont eu que quelques kilomètres à parcourir pour rejoindre Les Salins, scène nationale de Martigues, qui accueille la première française de leur nouvelle création, Marry Me in Bassiani. Après To Da Bone, consacré aux hard dancers et au jump style qu’on peut habituellement voir en vidéo sur internet, les voici désormais entourés d’une vingtaine de danseurs de l’Ensemble Iveroni de Géorgie. Un grand écart qui n’en est pas vraiment un.
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