Accueil Culture Livres

Toutes les couleurs sauf une

Percival Everett confronte Kevin Pace et « Tout ce bleu » à travers différentes époques d’une vie qui réserve quelques surprises.

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 3 min

Dans Tout ce bleu, le peintre Kevin Pace travaille en secret à un tableau dont il tient à ne rien révéler et qu’il a même l’intention de détruire quand il mourra – il a demandé à Richard, son meilleur ami, de le faire pour lui s’il n’en a pas le temps. Tout lui appartient et lui appartiendra dans cette grande toile, trois mètres septante sur six mètres quarante-huit. Y compris le premier trait qu’il y a tracé et qu’il a longtemps laissé seul. « Elle n’était pas grande, cette unique marque. Ni symbolique, ni métaphorique. Elle n’était pas même parfaite. C’était ma première marque. Elle serait recouverte et on ne la reverrait plus, mais elle serait là, à jamais la première. Comme un premier baiser, elle ne se reproduirait pas. »

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Livres

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs