Même une théocratie peut être abattue

On dit souvent que la littérature de Margaret Atwood est sombre. Et elle l’est. Mais c’est normal : la majorité de son œuvre, et particulièrement La servante écarlate et la trilogie Le dernier homme, sont des dystopies, des utopies négatives, des mondes donc où quasi tout est noir, dictatorial, violent. Les Testaments échappent à cette règle apparente. Du moins en partie : si la théocratie développée dans La servante écarlate et sa suite est réelle, dure, indigne pour les femmes mais aussi pour les hommes, Les Testaments montrent qu’elle peut ne pas être éternelle.

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