Les racines élémentaires de Cyril Dion: «Je me suis promis de ne jamais devenir un vieux con»
Rescapé d’une jeunesse chaotique, Cyril Dion s’est construit dans la rébellion et la foi dans les rêves. Le coréalisateur de « Demain » se raconte.


On s’était donné rendez-vous à Montmartre. Au bistro qui était son QG quand il avait vingt ans, et suivait des cours de théâtre. « A l’époque, observe-t-il, sourire aux lèvres, un café à la main, je n’étais pas encore bobo, j’étais juste un pauvre comédien, j’enchaînais les petits boulots, coursier, déménageur, peintre en bâtiment… » C’est ici, confie-t-il, qu’il est « né une deuxième fois ». Bel endroit pour une rencontre.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Et il fait quoi le bobo quand il doit vider ses poubelles ou déboucher sa fosse sceptique ? Il renonce ou il fait appel à un renonceur ? Si tous le monde faisait ce qu'il a envie de faire, qui c'est qui se lèverait à 3 h du mat pour aller ramasser ses poubelles de gosse de riches ? Où se coucherait à 22 h après sa journée passer à faucher le blé et à ballotter ? Encore un qui se dit avec les gilets jaunes mais qui les méprise.