Le nucléaire veut aussi sauver la planète
L’électricité produite par les centrales est peu émettrice de CO2. Si la Belgique s’apprête à tourner la page du nucléaire, plusieurs pays continuent d’y croire. La France pourrait construire six nouveaux réacteurs. Et cinquante sont programmés dans les dix prochaines années en Chine. Sans que soit résolue la question des déchets.


L’industrie nucléaire s’est engagée à faire ce qu’elle doit faire pour sauver notre planète du changement climatique. Notre technologie est prête, notre chaîne d’approvisionnement est prête et nos travailleurs sont prêts. » Ce « credo », Agneta Rising, directrice générale de l’Association mondiale du nucléaire (WNA), l’a encore répété au début de ce mois à la tribune de l’Agence internationale de l’énergie atomique. Et d’aligner les arguments, à commencer par le caractère « décarboné » de la production d’électricité nucléaire, ce qui permettrait d’éviter chaque année l’émission de plus de 2,5 milliards de tonnes de CO2 dans l’atmosphère – soit l’équivalent de 400 millions de voitures en moins sur les routes.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Pourquoi la rédaction du Soir cache-t-elle cet article intéressant dans une rubrique économique uniquement "internet" que personne ne lira. Cet article pourrait ouvrir les yeux des citoyens sur l'intérêt du nucléaire dans la transition énergétique visant à limiter nos émissions de CO2. Mais peut-être que la rédaction du Soir n'a pas l'esprit suffisamment ouvert sur cette approche...!