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Europol s’intéresse aussi aux femmes criminelles, dont la Belge Hilde Van Acker

L’organisation policière européenne lance sa nouvelle campagne de recherche de fugitifs. « La criminalité n’a pas de genre », dit-elle, soulignant que l’émancipation produit aussi une hausse de la criminalité des femmes.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 2 min

La campagne annuelle d’Europol de recherche de fugitifs qui s’intitule « La criminalité n’a pas de sexe » privilégie cette année sur son site « Most wanted Europe » la traque aux femmes criminelles par les Etats membres de l’Union européenne. Le crime n’a pas de genre, souligne Europol, même si la gent féminine, en matière criminelle, est encore bien loin d’atteindre la primauté masculine. Un chiffre suffit à l’établir. Sur les 1.850 personnes recherchées (condamnés ou suspects) qui figurent dans les fichiers du Fast (l’unité de recherche de fugitifs de la police fédérale belge), seules 20 sont des femmes.

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