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Le Liban face à une révolte populaire

Des milliers de personnes crient leur colère contre le gouvernement. En cause : une nouvelle taxe qui a fait éclater un mécontentement latent depuis des mois.

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Temps de lecture: 3 min

Les manifestations ont débuté jeudi soir et se sont poursuivies toute la journée de vendredi. Dès le matin, la plupart des grands axes routiers étaient bloqués par des pneus enflammés. Les écoles et les banques avaient baissé le rideau, les administrations publiques appelé à la grève générale.

La raison ? Le gouvernement libanais avait annoncé plus tôt dans la journée vouloir taxer les utilisateurs de Whatsapp et autres applications mobiles permettant de téléphoner gratuitement sur internet. Le nouvel impôt, applicable au 1er janvier 2020, était fixé à 20 centimes de dollars par jour – une mesure inacceptable pour les Libanais qui peinent déjà à joindre les deux bouts. Face à l’ampleur de la mobilisation populaire, le Premier ministre Saad Hariri est monté au front - lire par ailleurs. Et le ministre des Télécommunications s’est immédiatement rétracté mais il était déjà trop tard.

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