Evo Morales, stop ou encore? La bourgeoisie indienne de Bolivie penche pour «le changement»
Ce dimanche, le président bolivien Evo Morales brigue un quatrième mandat et est en tête des sondages. Mais le président a imposé sa candidature malgré la Constitution et a perdu certains soutiens, y compris chez les Indiens.

Mardi 15 octobre, pour le dernier meeting à la Paz de Carlos Mesa – le candidat de l’Alliance citoyenne, qui talonne Evo Morales dans les sondages –, la classe sociale moyenne et blanche forme comme toujours le gros des troupes. Mais on aperçoit aussi au milieu de la foule quelques chapeaux melon, l’attribut caractéristique des femmes aymara – l’une des communautés indiennes les plus importantes du pays. Comme les autres participants, ces femmes agitent les drapeaux orange, couleur de l’opposition, et reprennent le slogan « dictature non, démocratie oui ».

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