Christine Defraigne : «Si les choses étaient si simples au MR, il n’y aurait pas cinq candidats»

Christine Defraigne, première échevine à Liège et candidate à la présidence du MR aimerait qu’une femme soit élue à la tête du parti libéral. La campagne au sein du parti n’a pas été facile ces derniers jours. Le Montois, Georges-Louis Bouchez, semble pour l’instant le mieux positionné pour l’emporter. Le trentenaire a bénéficié de plusieurs soutiens de poids. Jean-Luc Crucke, Daniel Bacquelaine, Sophie Wilmès, Jacqueline Galant ou encore David Clarinval se sont publiquement ralliés à sa cause. On reproche notamment à ce dernier de s’adresser uniquement aux ténors du parti et pas à la base.

Interrogée sur Bel RTL, Christine Defraigne a confié que « si les choses étaient si simples au MR, il n’y aurait pas quatre candidats ».

Christine Defraigne a notamment rappelé l’importance de la communication au sein du parti et vis-à-vis des militants. Si elle est élue à la tête du parti, Christine Defraigne aimerait instaurer le dialogue avec les autres formations politiques. Elle ne souhaite pas ajouter du chaos francophone au chaos fédéral. Sa limite : « Je ne discute pas avec les partis d’extrême »

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À la tête du parti, Christine Defraigne s’est aussi engagée à réformer les statuts du parti et les mettre au goût du jour.

Clémentine Barzin, Georges-Louis Bouchez, Christine Defraigne, Denis Ducarme et Philippe Goffin, les cinq candidats à la présidence du MR, vont débattre ce soir à Namur-Expo, un « Grand débat » ouvert à tous.

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